L’exploitation touche dix millions de mineurs

L’exploitation des personnes dans le monde touche plus de 40 millions de personnes, plus que le nombre d’habitants de pays comme le Canada et la Pologne ou l’Irak. C’est un phénomène qui, pour la plupart, reste caché et alimente l’exploitation du travail des enfants ou la traite des êtres humains, employés comme esclaves dans divers secteurs productifs, non seulement dans les pays sans aucune protection des droits, mais aussi dans les démocraties occidentales. L’une des causes de l’augmentation de ce phénomène est certainement l’émigration forcée des populations touchées par les guerres, les famines et la situation politique difficile des États d’origine. Ces émigrations, qui se déroulent sans aucune protection ni protection de la part des pays riches, souvent même opposés à eux de différentes manières, et des organisations internationales mettent les gens dans une position de faiblesse abandonnés à eux-mêmes et en proie facile aux organisations criminelles. Donc sur la question politique, mais aussi sanitaire, une question juridique qui touche tout le monde se greffe, car, en plus de favoriser l’exploitation des personnes, elle favorise la croissance des organisations criminelles, qui trouvent facilement une main-d’œuvre à des coûts très bas voire nuls. Sur les 40 millions de personnes qui remplissent les statistiques d’exploitation, on estime que les moins de 18 ans, mineurs, sont environ dix millions, soit un pourcentage donc de 25%. Ces données rendent la pertinence du phénomène encore plus grave, surtout si l’on considère que l’emploi qui affecte la majorité de ces mineurs est lié à l’exploitation sexuelle. La pandémie et le verrouillage qui en a résulté ont créé une augmentation de la demande de services de contenu érotique, la consommation augmentant de 30% dans certains États européens; ces services, profondément liés à la cybercriminalité, emploient de plus en plus de mineurs, avec une prévalence d’environ 68% du total, un chiffre pourtant ferme en 2016 pour l’Europe, de femmes. Que le chiffre de 68% de femmes sur le nombre total de mineurs sous-exploités n’ait pas été actualisé depuis quatre ans est un élément éloquent également en ce qui concerne les possibilités et la volonté de contraster le phénomène; il faut aussi rappeler que la fermeture imposée par les établissements scolaires, bien que justifiée, a éliminé un facteur de contrôle et de prévention sociale, qui a favorisé l’utilisation des mineurs dans l’emploi dans le travail non déclaré et illégal. La pandémie a cependant accentué un phénomène déjà présent, qui a ses bases dans ces communautés ethniques où les revenus financiers sont fondés sur l’illégalité et qui exploitent l’état de besoin et la faiblesse absolue, représentée par le fait d’être en dehors du territoire. propres pays, victimes. L’aspect de l’exploitation des enfants, bien que présent également dans les nationalités de l’Union, a logiquement une origine liée à l’immigration, notamment l’immigration clandestine et la présence de mouvements opposés aux étrangers, déplace l’attention politique qui serait nécessaire pour la protection des mineurs également en raison des investissements de plus en plus faibles dans la prévention et le contrôle, basés sur le réseau que les collectivités locales peuvent fournir, dont les contributions centrales ont été réduites. Bien que le cas de l’exploitation sexuelle soit le plus regrettable, pour les implications morales évidentes, les secteurs concernés sont également d’autres et incluent également le commerce, la restauration et le secteur tertiaire. Il est donc essentiel qu’au niveau européen des lois préventives et répressives du phénomène soient nécessaires, mais aussi une plus grande coordination des forces de police nationales et, surtout, une attitude univoque à l’égard de la question migratoire, dont ce phénomène fait partie et fait partie. Tolérer en Europe, qui devrait être la patrie du droit, de telles violations signifie discréditer tout le système juridique du vieux continent. Il n’est pas facile de concilier les différentes positions sur les migrants, mais, au moins, de prendre une position unifiée sur les violations de l’enfance et de l’adolescence, même celles qui viennent de l’étranger de manière non légale, devrait représenter un point sur lequel l’unité des les vues doivent être garanties. La question se situe également dans le contraste avec les organisations qui exploitent la traite des êtres humains avant, pendant et après l’arrivée des migrants, en tirant des bénéfices illicites et donc en se renforçant de plus en plus avec des revenus économiques plus importants. Une législation plus stricte avec des sanctions plus sévères et une prévention avec des structures adéquates capables d’intercepter des cas spécifiques constitueront également un investissement contre la pègre nationale et étrangère.

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